Chantier de carrelage 2011

Avec cette dernière pièce, la saga trouve sa fin. Bon, il restera bien quelques petits travaux avec des réserves de carrelage en attendant la pose de deux portes. Quand ce sera fait, je ferai un petit ajout spécial « seuils de portes ».

J’aime quand ça usine comme ça. Un jour: une pièce. Ca sent bon la fin de chantier presque 4 mois après le début des hostilités.

Yapluka jointoyer les murs, n’est ce pas ?

Salon terminé ! Ca change des toutes premières photos…

Aperçu des premières rangées et du stock de matériel. C’est du lourd !

Une fois que c’est commencé, ça va vite puisque la première chambre aura été recouverte en un jour. Il manque les plinthes et les joints mais c’est suffisant pour avoir un aperçu.

Plus de 5 semaines de séchage, c’est long. Ca fait 5 semaines de camping supplémentaires.

Enfin, c’est reparti avec l’exercice du ponçage de la chape liquide devenue solide. Une laitance a durci en surface et un ponçage est de rigueur. Une fois l’opération réussie, l’apparence est parfaite et le sol prêt à être carrelé.

J’ai toujours entendu dire: « si tu emploies des entreprises étrangères, ton chantier va être sale et les finitions seront approximatives ».
Je suis à la recherche de statistiques à ce sujet parce qu’après le passage de deux entreprises bien françaises, on va devoir se refaire les enduits de lissage et les peintures parce que le « travailler proprement » est peut être réservé au cahier des charges de la rénovation d’un appartement du roi à Versailles.
En tout cas, moi, j’ai vérifié mon proverbe « quelle que soit l’entreprise que tu emploies, faut repasser derrière »

Si le citoyen ordinaire commence à être sensibilisé à la démarche écologique, à la préservation de l’environnement, au tri des déchets, il est une catégorie socio-professionnelle qui s’en bat la race, comme dirait mon fils expatrié, je voudrais citer les petites entreprises du bâtiment.
Exemple: avant de couler une dalle, on en profite pour enterrer les mégots, les ferrailles, les plastiques et les bouts de polystyrène.
Quand je me rends compte de tout ça, je déterre, bien entendu, je mets tout dans des containers différents et je demande aux ouvriers de mettre chaque déchet dans son contenant, je m’engage à aller évacuer tout ça à la déchetterie.
Eh bien non, je ne retrouverai pas un seul déchet et surtout pas dans mes bacs, impossible de savoir où c’est parti mais je donne ma main à couper que c’est en vrac je ne sais où.

Prochain chantier, j’exige de l’artisan une démarche éco-citoyenne. Enfin, pas du début sinon je vais avoir du mal à obtenir un devis…

Cinq jours plus tard, on peut marcher sans s’enfoncer.

Et le sol brille toujours autant. Maintenant on ouvre les fenêtres pendant 3 jours et on commence à chauffer le sol lundi matin. A suivre…

Il y en a pour 5 jours, portes et fenêtres fermées afin que le séchage soit lent.
Bon, les odeurs de ciment et l’humidité remontent à l’étage mais ça reste supportable.

La suite du blog le jeudi de l’ascension…